TROMBINOSCOPE – Parce qu’on n’en peut plus d’entendre que les comédien.ne.s noir.e.s en France sont invisibles, qu’on n’en connaît peu, que si, que là… on a décidé d’en présenter un, brièvement, tous les jours. Aujourd’hui : Annabelle Lengronne.
Invisibles, les comédien.ne.s afrofrançais.e.s ? Si revient toujours la sempiternelle question de notre capacité à en citer plus de cinq, pendant ce temps, ces artistes s’affairent sur les plateaux de cinéma, les planches.
Vous trouverez ici chaque semaine le nom et la photo d’un.e comédien.ne noir.e, sa date de naissance, son premier film, les films marquants dans lesquels ille a joué, son dernier rôle. Aujourd’hui, lendemain de la cérémonie des Césars 2016 : Annabelle Lengronne.

Annabelle Lengronne est né en 1987.
Elle a joué au cinéma notamment dans Ombline de Stéphane Cazès, Les Kaïra (2012) de Franck Gastambide, Mercuriales (2014) de Virgil Vernier.
À la télé, elle a joué, entre autres, le rôle d’une avocate dans Boulevard du Palais (2012) ou la boxeuse Aya Cissoko à l’âge adulte dans Danbé, la tête haute (2014).
Au théâtre, elle a été dirigée dans Iphigénie à Aulis et Tambours sur la digue, deux pièces d’Euripide mises en scène par Hélène Cixous. Elle a également fait partie de la première distribution d’Afropéennes, mise en scène par Eva Doumbia.
Elle est l’héroïneprincipale du film La fine équipe de Magaly Richard-Serrano, avec Jackee Toto, Ralph Amoussou et Doudou Masta entre autres. Le film est dans les salles obscures depuis le 30 novembre.
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